Les enquêtes de Fortuné et Héloïse Petitcolin

Investigations criminelles dans les années 1830

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Chapitre XXVIII : Les mystères s’éclaircissent

Théodore était reparti avec Carole, Raphaëlle et Champoiseau. Héloïse et Fortuné avaient débarrassé la table et s’étaient assis un moment dans la cuisine où les foyers éteints depuis plusieurs heures avaient maintenu une température un peu plus élevée que dans la grande salle du Véfour.

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Chapitre XXVII : L’organisation pacifique du commerce

Théodore revint avec une bouteille et un plateau de fromages large comme un plan de chemin de fer.

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Chapitre XXVI : Au Véfour

Après quatre jours de repos relatifs passés en fait à travailler à Veritas, Fortuné proposa à Théodore de lui présenter Charles Lecour en fin d’après-midi. Fortuné ne se sentait pas encore suffisamment vaillant pour reprendre ses entraînements, mais Théodore accepta d’effectuer sur le champ une première séance de savate avec un élève de Lecour.
Heureux de cette expérience, ils décidèrent ensuite de passer la soirée au Palais Royal avec Raphaëlle et Héloïse, dans l’espoir que Champoiseau pourrait aussi se joindre à eux. Théodore proposa d’aller le chercher chez lui.

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Chapitre XXV : L’ordre des choses

Fortuné serait bien resté couché toute la journée, mais son sens du devoir l’en empêcha. Les choses rentraient dans l’ordre, après tout, et il était dans l’ordre des choses qu’il fût dorénavant à son travail du matin au soir. Il fut juste, pour une fois, le dernier employé de Veritas à rejoindre son poste en milieu de matinée ce 11 mars, sous l’œil toujours aussi curieux et inquisiteur de ses collègues. L’un d’eux l’informa que le directeur l’attendait.

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Chapitre XXIV : Quand il faut sauter dans le vide

Trois prisonniers profitèrent de l’obscurité pour se précipiter dehors. Le quatrième, celui qui craignait que l’homme aux clés n’attende là-haut, hésita à les suivre et bien lui en prit. On entendit deux coups de feu puis un cri, suivi d’un second encore plus effroyable. Un corps dévala les marches, la chemise ensanglantée. Arrivé en bas, l’homme gémit et toussa. L’absence de lumière ne permit à personne de juger de son état. Là-haut, on percevait maintenant des paroles échangées à voix basse.

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Chapitre XXIII : FRM KV

Vingt minutes plus tard, les deux hommes et Hugo étaient déposés par un cabriolet devant le Palais de justice. Il faisait nuit maintenant et en cette froide soirée, il n’y avait guère âme qui vive alentour.

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Chapitre XXII : Interrogatoire et déductions

Théodore revint avec les deux voitures de Thiers.
– Prends la première, dit-il à Fortuné. Toi, ajouta-t-il en se tournant vers l’homme, monte dans l’autre !

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Chapitre XXI : Un à zéro

Croyant contre toute raison en sa bonne étoile, Fortuné se dit que tant que le pire n’était pas advenu, il restait encore une chance. Il accéléra sa course. À côté de lui, Théodore l’encourageait. Il avait deviné l’intention de son compagnon et héla au passage un sergent qu’il reconnut en bas du remblais. Ils atteignirent enfin, hors d’haleine, les policiers à cheval qui stationnaient à l’entrée.

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Chapitre XX : Toute la foudre du ciel

Héloïse et Fortuné venaient d’arriver sur le chantier, que les premiers rayons d’un froid soleil commençaient à peine à éclairer. L’entrée était surveillée par des agents de sécurité de la Compagnie qui avaient reçu comme consigne de ne faire pénétrer aucun ouvrier.

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Chapitre XIX : En bonne compagnie chez Tortoni

– La journée a été bien remplie, dit Émile Pereire, mais je n’allais pas laisser filer la chance de passer un agréable moment avec une jolie femme et un polytechnicien !… Ma femme, quant à elle, est habituée à ce que je rentre tard.

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