Février 1836. Le conspirateur Fieschi est exécuté ainsi que ses complices. Pour Fortuné Petitcolin, jeune Breton de 22 ans monté quelques années plus tôt à Paris pour étudier à l’École polytechnique puis travailler au Bureau Veritas, c’est une occasion particulière de retrouver certains compagnons perdus de vue depuis quelque temps. Ils assistent ensemble à une violente dispute entre le patron d’un restaurant, La Grande Licorne, et son employée, dont Théodore Bonnefoy, le meilleur ami de Fortuné, prend la défense. Peu de temps après, le restaurateur disparaît et la police s’intéresse à Théodore. L’étrange comportement de ce dernier intrigue : serait-il lié à cette disparition ?

Guidé par son amitié pour Théodore, Fortuné veut découvrir la vérité. Sa quête va mettre sa confiance à l’épreuve et sa vie en péril. Son obstination ainsi que celle d’Héloïse, sa bien-aimée, pourront-elles contrecarrer les desseins de sombres personnages ?

Chapitre I : Un jour particulier

Chapitre II : À Port-Louis

Chapitre III : Carole et son amie

Chapitre IV : Une bonne et une mauvaise surprise

Chapitre V : Hors du monde

Chapitre VI : Retrouvailles

Chapitre VII : À la morgue

Chapitre VIII : Dans le bureau de Charles Lefebvre

Chapitre IX : La femme qui n’existait plus

Chapitre X : Quand le chausson détend son homme

Chapitre XI : Les amis de Champoiseau

Chapitre XII : Un homme à terre

Chapitre XIII : Au-dessus de la Maison des morts

Chapitre XIV : un jardin abandonné

Chapitre XV : Préparatifs

Chapitre XVI : Chardonneret

Chapitre XVII : Ports d’attache

Chapitre XVIII : PSG

Chapitre XIX : En bonne compagnie chez Tortoni

Chapitre XX : Toute la foudre du ciel

Chapitre XXI : Un à zéro

Chapitre XXII : Interrogatoire et déductions

Chapitre XXIII : FRM KV

Chapitre XXIV : Quand il faut sauter dans le vide

Chapitre XXV : L’ordre des choses

Chapitre XXVI : Au Véfour

Chapitre XXVII : L’organisation pacifique du commerce

Chapitre XXVIII : Les mystères s’éclaircissent

Chapitre XXIX : À la Nouvelle Licorne

Note sur « L’homme de la Grande Licorne »