Sur l’atelier de savate de Charles Lecour, on peut lire Le maître de chausson de Théophile Gautier.

La vie des prostituées parisiennes est décrite par Alexandre Dumas dans Filles, lorettes et courtisanes, où il développe aussi le thème de la savate.
L’emplacement du bal du Prado où Théodore a vu Raphaëlle pour la première fois est indiqué par une plaque en face de la Conciergerie sur l’île de la Cité. Il a été remplacé depuis par le Tribunal de commerce.

La maison où Poisneuf est enfermé est inspirée de celle de la rue Plumet dans Les Misérables. Et le chapitre IV du tome 5, Livre 2 du roman, intitulé « Détails ignorés », évoque d’anciens cachots murés, dans les égouts sous le Palais de justice.

Sur les avancées de la construction de la ligne Paris-Saint-Germain, on peut en particulier consulter sur Gallica le Journal des Débats des 12 et 16 mai 1836 et l’écrit de Victor Considérant, Déraisons et dangers de l’engouement pour les chemins de fer, publié en 1838.

L’armateur marseillais Morrel dont il est question à un moment du récit est celui qui, quelques-années plus tôt, a été sauvé de la faillite par le Comte de Monte Cristo.

Catherine Abeguilé-Petit raconte dans son article « Machinisme à vapeur et innovation dans la marine sous la Restauration : l’affaire de l’ingénieur Frimot (1790-1866) » (Revue historique des armées, 246|2007, 100-109) l’épisode que nous avons cité.

Charlotte Brontë met en scène des Luddistes dans son roman Shirley publié en 1849.
Pour mieux connaître cet épisode de la révolution industrielle, on peut également visiter le musée des tisseurs situé près de Nottingham, qui évoque les révoltes luddistes : www.frameworkknittersmuseum.org.uk… ou bien lire la troisième enquête de Fortuné et Héloîse, Les Mystères de Roe Head !