Les enquêtes de Fortuné et Héloïse Petitcolin

Investigations criminelles dans les années 1830

Category: La disparue du Doyenné (page 3 of 3)

Chapitre VI : Allyre et Zoé

De retour place de la Bourse, Fortuné eut du mal à se concentrer sur son travail pendant tout l’après-midi. Il s’en voulait de ne pas avoir pensé à interroger la femme de chambre de Corinne. Continue reading

Chapitre V : 20 rue du Pont Louis-Philippe

Jeudi matin, Fortuné et Théodore furent fidèles au rendez-vous. En face d’eux se tenait un homme de soixante ans, au large front, à la mâchoire solide et à l’air à la fois assuré et inquiétant, dont la présence remplissait toute la pièce. Il était calme, mais d’un calme qui pouvait cacher une tempête à venir. Continue reading

Chapitre IV : Madame Veuve Durand

Fortuné avait profité du repos de la matinée du dimanche 19 juillet pour reprendre des forces, et du début d’après-midi pour passer au Bureau Veritas – dont il avait les clés – afin de traiter quelques courriers en retard provenant de capitaines-experts basés dans des ports de France et de Belgique. Continue reading

Chapitre III : Chez Baratte

Lorsque, vers sept heures du soir samedi, Fortuné et Théodore pénétrèrent chez Baratte, rue aux Fers(1), face au marché des Innocents, la salle principale était déjà bien peuplée. La clientèle semblait assez aisée, en bonne partie des marchands des Halles. Continue reading

Chapitre II : Corinne

– Cela fait plus d’une semaine que nous ne nous sommes vus, Fortuné, et cela fait six jours qu’elle a disparu, commença Théodore. Continue reading

Chapitre I : Impasse du Doyenné

Par on ne sait quel miracle, le cabriolet franchit quelques instants plus tard le porche du 3 impasse du Doyenné, un très bel hôtel Louis XIII. Dans la faible lumière de la lanterne municipale, Théodore aperçut avant même de descendre la silhouette de son ami qui l’attendait. Il eut un pincement de lèvres :
– Fortuné ! Tu vas devoir me pardonner… Continue reading

Prologue : Chez Momus, vendredi 17 juillet 1835

Au premier étage du café Momus, 17 rue des Prêtres-Saint-Germain l’Auxerrois, Théodore Bonnefoy et ses trois amis commençaient à fatiguer. Il était onze heures du soir et leur soirée avait débuté… vers midi. Continue reading

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